Fortement appréciée par les bovins et les ovins pour son apport énergétique, la betterave fourragère est également plébiscitée par les éleveurs. Le fourrage produit au printemps et en début d’été permet un pâturage en fin d’été et en automne.

Après quelques décennies d’abandon la culture de betterave fourragère se redéveloppe en France. Le bovin consommant l’ensemble de la plante directement au champ suscite l’intérêt des éleveurs. En réponse à la demande de ces derniers, RAGT Semences propose la variété RGT BRIGADIER qui dispose d’un faible enracinement et convient parfaitement au pâturage. L’animal peut ainsi très facilement déraciner la betterave pour la consommant. L’éleveur profite ainsi des 1,15 UFL qu’offre la betterave fourragère pendant une période où le fourrage manque. Laurent, éleveur bovin en Indre-et-Loire nous précise que « les limousines ont commencé à pâturer le 3 août, période où les prairies sont grillées, les betteraves étaient suffisamment grosses à cette date ».

Les bovins déracinent sans difficulté la betterave

La betterave permet de produire un fourrage riche à moindre coût

Le pâturage de la betterave permet de fournir un fourrage riche, à moindre coût et sans contrainte matériel. C’est ce que nous précise Jean-Michel, éleveur laitier dans la Vienne : « Pâturer les betteraves me permet de profiter de cet aliment très riche sans aucun besoin de matériel spécifique Semée en avril à 2,5 doses par hectare (125 000 graines par hectare) la betterave peut être pâturée à partir de début août et tout l’automne dans la limite de la portance du sol. Le rationnement se fera grâce au fil avant avec également une limite de durée d’environ deux heures par jour afin de limiter sa consommation à trois kilogrammes de matière sèche par jour. « Les vaches passent 2 heures par jour dans la parcelle où le fil est avancé de deux mètres tous les jours. J’ai gagné 1 point de TP et TB immédiatement » observe Benoît, éleveur de vaches laitière en Vendée.

La présence de terre lors de la consommation de la betterave n’impacte pas la qualité bactériologique du lait. Contrairement à un ensilage de ray-grass ou de maïs, il n’y a pas de fermentation susceptible de favoriser la présence de butyrique.

Vos interlocuteurs régionaux sont à votre disposition pour plus de précisions sur notre betterave fourragère RGT BRIGADIER.

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